« Le wokisme est-il dangereux pour la démocratie? » Une discussion avec Suzette Sandoz et Guy Mettan

Date

mercredi 15 novembre 2023
Expiré!

Heure

7:30 pm

Tarif

Adulte : 30 CHF

Lieu

Salle de l'Esplanade
avenue du chêne 42

C’est une discussion animée et peut-être même « à risque » à laquelle le journaliste indépendant Guy Mettan et l’ancienne conseillère nationale Suzette Sandoz ont accepté de se livrer avec bravoure.

 

Comme toujours, Planetpositive a cœur à protéger, contre vents et marées, un espace de liberté d’expression et des opinions à une époque où non seulement celui-ci fond comme les glaciers, mais encore devient de plus en plus squatté par des idéologies « hors sol ». Quand nous parlons d’idéologies « hors sol », nous voulons dire celles qui ne viennent pas du coeur de l’Homme et de sa reliance intime aux lois vibratoires de la conscience, mais qui sont nourries avec des substrats financiers, psychologiques et politiques généralement coupés de la vie réelle et du bon sens.

Le wokisme entre-t-il dans cette catégorie ? « Woke » provient de l’anglais pratiqué par les personnes noires aux Etats-Unis. Sa traduction littérale signifierait une personne « éveillée ». Selon Wikipédia, être « woke » voudrait dire « être conscientisé face au racisme notamment et à l’existence de problèmes sociaux ». Pourtant, la promotion du respect des identités s’accompagne souvent de « cancel culture » ou « déconstruction » et des excès discriminatoires et tyranniques des communautés qui se disent elles-mêmes victimes d’une société qui les stigmatise.

Le wokisme met-il en danger le respect des valeurs démocratiques ? Faut-il réécrire l’Histoire en fonction des idéologies « progressistes » ? L’augmentation du narcissisme développé par la numérisation pourrait-il amplifier les revendications identitaires et minoritaires? Ce mouvement qui s’exprime particulièrement auprès des jeunes et des universitaires pourrait-il être un outil d’instrumentalisation collective à des fins politiques et de conquête de pouvoir ? Comment respecter la personne sans tomber dans un débat de haine ? Et comment le wokisme pénètre-t-il le tissu social et culturel de la Suisse ? Faut-il s’en inquiéter ? Comment préserver les valeurs helvétiques sans être accusé de nationalisme et d’extrémisme ?

Voilà bien des questions auxquelles tenteront de répondre la professeur honoraire de droit de la famille et des successions Madame Suzette Sandoz et l’ancien rédacteur en chef de la Tribune de Genève Guy Mettan.

Les orateurs

Suzette Sandoz est née en 1942. Elle est professeur honoraire de droit de la famille et des successions, ancienne députée au Grand Conseil vaudois, ancienne conseillère nationale. Elle est chroniqueuse pour la presse et tient un blog à succès. Suzette Sandoz a fait l’objet d’un livre, Une voix claire dans la foule, dans lequel elle nous invite à la réflexion. Elle y aborde des faits de société, émet des considérations politiques, commente des événements, s’interroge sur l’évolution des moeurs, affirme sa passion pour la Suisse et sa bienveillance pour celles et ceux qui la peuplent.

Guy Mettan est né en 1956. Avant de devenir journaliste indépendant, il a dirigé de nombreux médias tels que Bilan, la Tribune de Genève et le Club suisse de la presse. Sur le plan politique, il a siégé au Conseil municipal de la Ville de Genève puis au Grand Conseil, qu’il a présidé en 2010 et où il siège toujours en qualité de député UDC. Comme écrivain, il a réalisé plusieurs ouvrages, comme Russie-Occident, une guerre de mille ans ; Valais : République des glaciers ; La tyrannie du bien; Nouveau dictionnaire impertinent de la Suisse ; Le monde à deux mille mètres ; Le grand Zack

Modération: Gil Rossion, ancien journaliste auprès de la RTS.

Salle de L’Esplanade à Aubonne
Avenue du chêne 42
1170 Aubonne
Parking de l’Esplanade
Entrée: 30 CHF ou 33 euros
Ouverture des portes à 19.00

Paiement en espèces

C’est une discussion animée et peut-être même « à risque » à laquelle le journaliste indépendant Guy Mettan et l’ancienne conseillère nationale Suzette Sandoz ont accepté de se livrer avec bravoure.

 

Comme toujours, Planetpositive a cœur à protéger, contre vents et marées, un espace de liberté d’expression et des opinions à une époque où non seulement celui-ci fond comme les glaciers, mais encore devient de plus en plus squatté par des idéologies « hors sol ». Quand nous parlons d’idéologies « hors sol », nous voulons dire celles qui ne viennent pas du coeur de l’Homme et de sa reliance intime aux lois vibratoires de la conscience, mais qui sont nourries avec des substrats financiers, psychologiques et politiques généralement coupés de la vie réelle et du bon sens.

Le wokisme entre-t-il dans cette catégorie ? « Woke » provient de l’anglais pratiqué par les personnes noires aux Etats-Unis. Sa traduction littérale signifierait une personne « éveillée ». Selon Wikipédia, être « woke » voudrait dire « être conscientisé face au racisme notamment et à l’existence de problèmes sociaux ». Pourtant, la promotion du respect des identités s’accompagne souvent de « cancel culture » ou « déconstruction » et des excès discriminatoires et tyranniques des communautés qui se disent elles-mêmes victimes d’une société qui les stigmatise.

Le wokisme met-il en danger le respect des valeurs démocratiques ? Faut-il réécrire l’Histoire en fonction des idéologies « progressistes » ? L’augmentation du narcissisme développé par la numérisation pourrait-il amplifier les revendications identitaires et minoritaires? Ce mouvement qui s’exprime particulièrement auprès des jeunes et des universitaires pourrait-il être un outil d’instrumentalisation collective à des fins politiques et de conquête de pouvoir ? Comment respecter la personne sans tomber dans un débat de haine ? Et comment le wokisme pénètre-t-il le tissu social et culturel de la Suisse ? Faut-il s’en inquiéter ? Comment préserver les valeurs helvétiques sans être accusé de nationalisme et d’extrémisme ?

Voilà bien des questions auxquelles tenteront de répondre la professeur honoraire de droit de la famille et des successions Madame Suzette Sandoz et l’ancien rédacteur en chef de la Tribune de Genève Guy Mettan.

Les orateurs

Suzette Sandoz est née en 1942. Elle est professeur honoraire de droit de la famille et des successions, ancienne députée au Grand Conseil vaudois, ancienne conseillère nationale. Elle est chroniqueuse pour la presse et tient un blog à succès. Suzette Sandoz a fait l’objet d’un livre, Une voix claire dans la foule, dans lequel elle nous invite à la réflexion. Elle y aborde des faits de société, émet des considérations politiques, commente des événements, s’interroge sur l’évolution des moeurs, affirme sa passion pour la Suisse et sa bienveillance pour celles et ceux qui la peuplent.

Guy Mettan est né en 1956. Avant de devenir journaliste indépendant, il a dirigé de nombreux médias tels que Bilan, la Tribune de Genève et le Club suisse de la presse. Sur le plan politique, il a siégé au Conseil municipal de la Ville de Genève puis au Grand Conseil, qu’il a présidé en 2010 et où il siège toujours en qualité de député UDC. Comme écrivain, il a réalisé plusieurs ouvrages, comme Russie-Occident, une guerre de mille ans ; Valais : République des glaciers ; La tyrannie du bien; Nouveau dictionnaire impertinent de la Suisse ; Le monde à deux mille mètres ; Le grand Zack

Modération: Gil Rossion, ancien journaliste auprès de la RTS.

Salle de L’Esplanade à Aubonne
Avenue du chêne 42
1170 Aubonne
Parking de l’Esplanade
Entrée: 30 CHF ou 33 euros
Ouverture des portes à 19.00

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